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ET SI LA RÉALITÉ QUI NOUS FAIT SOUFFRIR N'ÉTAIT PAS PLUS RÉELLE QU'UN RÊVE ?

UNE INVITATION À OUVRIR NOTRE COEUR

Sans nier les douleurs que nous vivons, nous avons la possibilité de desserrer l’étau, de nous décrisper, de ne pas coller à la réalité que nous expérimentons comme étant indiscutablement réelle.

Le Travail de Byron Katie est une pratique d’investigation qui entraine l’esprit à s’ouvrir sur une réalité plus vaste et plus généreuse que celle que nous voyons d’habitude.

Nos pensées se recroquevillent sur elles-mêmes, tournent en boucle comme un vieux disque rayé sans même que nous nous en rendions compte. Les refrains que nous resassons nous enferment ; nous étouffons bien trop souvent dans le monde étroit de nos croyances récurrentes. Nos relations deviennent conflictuelles, nos nuits trop courtes, nos journées ternes. Notre façon d’interpréter les situations que nous vivons et de percevoir les gens que nous côtoyons est confuse et nous conditionne douloureusement. Mais rien ne mérite d’être désespéré

Chaque situation douloureuse est une invitation à travailler pour ouvrir plus amplement l’espace de notre vie.

L’heureuse nouvelle, c’est qu’il existe des chemins qui nous mènent vers plus de compréhension, de tendresse et d’ouverture.

 

« Le Travail » propose une voie qui redonne place à la voix du corps et à la vue du cœur. Ce n’est pas une nouvelle méthode à appliquer aveuglément ni un nouveau dogme ou une théorie dernier cri.

 

Il s’agit avant tout d’une expérience inédite et tout à fait banale à la fois, c’est un pas de côté profondément simple et direct qui nous permet de découvrir que le monde est toujours plus bienveillant que ce que l’on pense a priori à son sujet. 

Un esprit libéré des concepts est une parole qui sait répondre de la manière la plus juste à chaque situation et un corps qui sait à nouveau être à l’écoute de la mélodie du monde.

Fresque murale avec motifs géométrique et visage de femme

UNE BONNE NOUVELLE

Tête en forme de machine

Vous souvenez-vous, quand vous étiez enfant, à quel point il était facile de se laisser être et vivre ?

 

Avant d’être ligotés par les tabous et la morale, notre esprit et nos actes étaient spontanés. A présent, nous sommes formatés par une quantité infinie d’influences. Nous pesons sans cesse le pour et le contre, nous rangeons chaque être et chaque chose dans des cases, nous sommes les maîtres du bien et du mal.

 

Nous avons un « procureur général » toujours à l’œuvre dans notre tête. Voici un scénario que vous connaissez peut-être : Ah mais qu’est-ce que mon voisin est nul… Non, ce n’est pas bien de penser du mal des gens… C’est mal. Tu es trop nul. Tu as encore pensé du mal de quelqu’un… oui, mais quand même il est vraiment nul… il aurait dû… j’aurais dû…

Et voilà que la machine infernale est en route, partie pour des minutes, des heures, des jours et des nuits de ressassement… passant d’un jugement à l’autre, d’une condamnation à l’autre. A un instant nous pensons être meilleur que l’autre et l’instant d’après nous retournons nos griefs contre nous-même… Cette histoire-là n’a pas de fin ! A moins que… A moins que nous nous autorisions à juger notre prochain (comme nous le faisons de toute façon !). Et si je vous disais que ces jugements sont de vraies mines d’or ! Elles cachent des trésors de sagesse inespérés. 

Nous sommes convaincus d’avoir raison ! Très bien ! Nous pensons que nous voyons clair, que nos idées, notre avis, nos conseils concernant les autres sont justes. Nous voulons avoir raison advienne que pourra ? Très bien ! Parfois, nous nous retrouvons même à plusieurs à penser la même chose… c’est donc que nous devons vraiment avoir raison, non ? Très bien !

 

Utilisons toutes ces pensées comme point de départ et franchissons, à l’aide des 4 questions, le seuil de la porte grande ouverte vers plus de lucidité.

Lorsque nous observons nos pensées à la loupe sur une situation particulière, nous découvrons que finalement ce ne sont pas les personnes autour de nous mais nos propres pensées à leur sujet qui nous empoisonnent la vie.

 

Pour vivre cette expérience libératrice, il nous faut commencer par le départ : s’avouer que nous jugeons tout le temps. Ensuite, il s’agit de s’autoriser à le faire. Jugeons notre prochain librement. Si nous le faisons de manière intelligente, cela ne lui fera pas de mal et nous donnera le point de départ pour toute une série d’investigations.

Arrêtons donc de nous juger parce que nous jugeons et … jugeons ! Retrouvons notre spontanéité d’enfant pour accéder à notre sagesse d’adulte. Jugeons afin de nous ouvrir à la sagesse de notre cœur ! N’est-ce pas une bonne nouvelle ?

Est-ce que c’est vrai ?

Pouvez-vous être absolument certain que ce soit vrai ?

Comment réagissez vous lorsque vous croyez cette pensée ?


Qui seriez-vous sans cette pensée ?

« Pratique l'écoute des autres au sens le plus littéral, en croyant exactement ce qu'ils disent et fais le mieux possible pour résister à l'envie de tomber dans tes propres interprétations de l'information qu'ils partagent avec toi. »

Byron Katie dans « J’ai besoin que tu m’aimes »

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